Audit financier : le droit de réponse d’abord censuré puis tronqué par Vaucluse Matin

Les mentions tronquées du droit de réponse communiqué par Joël Sérafini sont surlignées en jaune dans l’image ci-contre. Que montrent-elles ? Le journal Vaucluse Matin serait-il partial ? Oui. Les déclarations tronquées démontrent aisément de quel côté il penchent à Bédarrides. Certes, ce n’est pas une nouveauté. C’est ainsi depuis 4 ans. C’est son droit le plus strict d’être une presse engagée et de soutenir des hommes politiques plutôt que d’autres. Mais pourquoi s’en cache-il et se positionne-t-il comme neutre de manière mensongère quand on l’interroge ? Notre devoir de citoyens attachés à la juste information de tous nous oblige à lever le voile caché et à s’interroger pour savoir s’il s’agit d’une position discutée et partagée par l’ensemble de la rédaction, ou du seul directeur de la rédaction en raison des liens d’amitié qui le lient à nos détracteurs. Le siège grenoblois du journal cautionne-t-il cela ? peut-être.

En tout état de cause, nous laissons les citoyens qui achètent leur journal juges du non respect du droit de la presse pratiquée par Vaucluse matin, qui laisse traîner pendant plusieurs jours un droit de réponse sans en contacter le pétitionnaire, pourtant diffamé dans son journal sans que la rédaction ait jugée souhaitable pour la juste information de ses lecteurs de solliciter son avis avant la diffusion de l’article qui l’accuse, puis tronque sa réaction pour en chasser les réponses gênantes pour son adversaire politique… qui l’attaque sur une vision plus que partielle et déformée de la réalité… avec la complicité de son journal.

Non, la presse n’a pas tous les droits. Elle est encadrée par la loi du 29 juillet 1881, sur laquelle, peut-être parce qu’elle vieille, certains s’assoient allégrement.